Daniel Bélanger est de retour avec Mercure en mai, un album qui célèbre la complicité humaine et les joies inattendues. Des mots attentifs aux étonnements, au soudain, à ces «petites Californies» qui dorment au fond de nous; des musiques naviguant entre le minimal et le luxuriant, avec motifs en boomerangs et passages secrets: tout ici raconte l’impromptu, ce qui échappe aux agendas et à la raison.
Daniel Bélanger est de retour avec Mercure en mai, un album qui célèbre la complicité humaine et les joies inattendues. Des mots attentifs aux étonnements, au soudain, à ces «petites Californies» qui dorment au fond de nous; des musiques naviguant entre le minimal et le luxuriant, avec motifs en boomerangs et passages secrets: tout ici raconte l’impromptu, ce qui échappe aux agendas et à la raison.